Soirée de projection de courts métrages français et allemands, , une soirée en présence des réalisateurs.rices

Soirée organisée par Vidéo Les Beaux Jours et le Goethe Institut

La projection sera ponctuée d'échanges avec les réalisateurs (5 allemands et 4 français), afin d'ouvrir un dialogue au sujet des différences écritures cinématographiques et des conditions de création de chaque côté du Rhin.

Films en version originale sous-titrée
 

> Nach dem Fest - Après la fête, de Hannes Schilling, Allemagne, 2017, 14 min.

En quête d’amour, Andi, sans domicile fixe, jette son dévolu sur Sandra. Entre tendresse retenue et violence latente, Andi et Sandra se rapprochent, s´éloignent, luttent. Une tentative désespérée d’échapper à la misère quotidienne et à la rudesse de la rue.
 

> Super lune, de Camille Picquet, 2017, Atelier Ludwigsburg-Paris
Super Lune est une application qui mêle les ondes de l’amour à celles de l’astre. Si l’amour est vrai, la connexion doit bugger. Sous le désir pressant de son copain, Iris la télécharge. Elle se connecte avec John Love et commence à jouer le jeu.
 

> Chuckwalla, de Korinna Krauss, Allemagne, 2017, 23 min.

Une île grecque : Tassos, au chômage, et son amie Niki doivent quitter leur maison avant qu’elle ne soit détruite et remplacée par une route. Ils décident de partir pour le pays d’origine de Niki, la Bulgarie. L’avenir les effraie et ils n’arrivent pas à se résoudre à partir.

 

> Nocturnes, de Hélène Rastegar, 2018, 15’, LE G.R.E.C.
Tes est en train de sortir de l’anorexie. La remontée à la surface est difficile, le corps est déréglé, ne répond plus de la même manière. Remanger, c’est accepter de lâcher prise, de perdre le contrôle. C’est à la fois reprendre des forces et accepter sa vulnérabilité. Mais le jeu en vaut la chandelle.
 

> Das satanische Dickicht - DREI - Le fourré satanique - TROIS, de Willy Hans, Allemagne, 2017, 22 min.

Sur un terrain de camping, premier jour de vacances : Mimi essaie d’attirer l’attention des jeunes de son âge, Karl veut nager avec le crocodile, papa a faim et maman a oublié les sandwiches. Et soudain disparait le lapin du gardien…

 

> Écorce, de Léonard Accorsi, 2017, 8’, Atelier Ludwigsburg - Paris
Eléa est atteinte d’une grave maladie qui rend sa peau extrêmement fragile. Sa mère décide de l’équiper de pansements connectés pour pouvoir suivre son état de santé en permanence. Mais Eléa profite d’une sortie au parc en famille pour s’en défaire et s’échapper dans les bois.
 

> Nikotyna, d'Ewa Wikieł, Allemagne, 2016, 23 min.

1981, dans une Pologne en état de siège : Marta et sa famille doivent fêter Noël à la lueur des bougies, l’électricité ayant été coupée. Après une violente dispute avec son père, elle quitte l’appartement, mais c’est une autre forme d’oppression qu’elle découvrira dans les rues de Łodz.

 

> Panthéon, d'Ange-Régis Hounkpatin, 2018, 24’, TS Productions
Fils d’un immigré béninois en rupture avec ses racines, Salomon, trente-cinq ans, est sur le point de céder à un musée un costume vaudou hérité de son père défunt. Mais un jeune danseur urbain va lui rappeler que le souffle ancestral n’a peut-être pas disparu.
 

> Joy, d'Abini Gold, Allemagne 2017, 15 min.

Depuis trois semaines, Joy se débrouille toute seule, quand sa mère refait enfin surface. Lorsque
cette dernière tombe dans les bras d’un nouvel amant, Joy ne peut plus contenir sa colère. Débute alors une lutte, entre jalousie et quête d’amour.


le 05/07/2018
À 19h,
Maison de l'Image (2ème étage)
31 rue Kageneck
Entrée libre, dans la limite des places disponibles

Pour plus d'informations : https://www.facebook.com/events/188766111782335/